Une nouvelle ère

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Le numérique, le monde du livre a préféré longtemps l’ignorer. Peu touchés par le développement d’Internet, éditeurs et libraires ne voyaient pas l’intérêt d’entrer rapidement sur un support qui a tant fait souffrir la filière du disque et dont le modèle économique est encore incertain. D’autant plus que les premiers lecteurs numériques ont été un échec, avec seulement quelques milliers d’exemplaires vendus.

Mais il aura suffi que quelques grandes marques annoncent le lancement de leurs livres électroniques pour tout changer. Amazon et son Kindle, Sony et son E-Reader et bientôt Apple et son iPad affirment présenter une rupture technologique assez puissante pour convaincre les consommateurs de délaisser le papier pour l’écran. Plus

Vers un prix unique du livre numérique

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Le Sénat devait examiner lundi soir 26 octobre une proposition de loi imposant un prix unique aux livres numériques pour protéger éditeurs et libraires

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Introduction à l’ebook

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L’idée d’un appareil de lecture électronique est apparue pour la première fois en 1972 dans l’esprit d’Allan Kay avec le Dynabook conçu au sein du centre de recherche Xerox aux Etats-Unis.

Mais c’est dans les années 1990 que les prototypes et les tentatives de commercialisation vont voir le jour.
En France, un des premiers projets est conçu en 1996 par un étudiant de l’Ecole d’architecture de Strasbourg, Pierre Schweitzer, dans le cadre d’un projet de design.

Pour son créateur, le projet @folio avait pour objectif de lire n’importe où des contenus provenant d’Internet sans consommer ni encre, ni papier.

Au début des années 2000, la société Cytale développe un appareil de lecture, le Cybook qui est commercialisé dès octobre 2001. La société réussit aussi à conclure des accords avec des éditeurs et des sociétés de presse. Cependant le projet va être un véritable échec.

Aux Etats-Unis, les premiers projets se sont développés en partenariat avec des grands groupes éditoriaux comme Random House ou Barnes & Noble. On peut citer la société Nuvomédia au sein de la Silicon Valley en Californie ou la société Gemstar qui après le rachat de Nuvomédia va développer un certain nombre de readers.

Il faut noter que ces appareils de lecture de première génération sont assez lourds, de 700grs pour les plus légers à 2kg, ce qui est beaucoup comparé au poids moyen d’un livre papier. Ils utilisent la technologie de l’écran LCD qui n’offre pas un réel confort de lecture et ne peuvent stocker beaucoup de livres.

Faut il avoir peur du livre électronique?

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Utilisation d’un modèle

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